En exclusivité pour Cannabisonline, Mario nous raconte, en répondant à une question de GlennOrch, comment il a obtenu les graines de landrace qui sont à la base des premières variétés de sa seedbank. Sachant que c'est quelqu'un d'extrêmement discret dans la vie, c'est une vraie chance de pouvoir être directement informé par le créateur de la fameuse Queen Mother.
GlennOrch escribió:Gracias por la info de primera mano. A mí no obstante, lo que me gustaría saber es un poco más acerca de la historia e información de esas genéticas usadas para vuestras variedades, por ejemplo las dos congoleñas diferentes y su procedencia, la historia de como Robert Clarke compartió esa mexicana con vosotros y de que zona procede o igualmente sobre el origen/historia de la Zamal usada en la Reina M. Es un tema que particularmente me parece interesante para todos aquellos que cultivamos sativas o variedades de origen y que solo se puede discutir en foros como este, donde participáis directamente. Se conservan en forma original alguna de esas genéticas?
Merci pour cette info de première main. Néanmoins, j'aimerais bien en savoir un peu plus au sujet de l'histoire de ces génétiques utilisées pour vos variétés, par exemple concernant les deux congolaises différentes et leurs origines, ou comment Robert Clarke a partagé cette mexicaine avec vous et de quelle zone elle provient, et aussi sur l'histoire/l'origine du zamal utilisé pour la Reina Madre. C'est un thème qui me paraît particulièrement intéressant pour nous tous qui cultivont des sativas ou des variétés d'origine et que l'on peut seulement aborder dans des forums comme celui-ci, dans lequel vous participez directement. Est-ce que l'on conserve sous leur forme originelle quelques-unes de ces sativas ?
Mario escribió:A mi tambien me gustaria saber mas, por desgracia en los años 90 no habia tanta informacion como hoy en dia.
La congoleña viene de un amigo cultivador de Barcelona que a su vez la recibio` de unos marineros que viajaban regularmente alla. La de la Isla Reunion de un amigo que estubo alla de vacaciones y no tenia denominacion de origen como Zamal, era de la Isla Reunion y punto. Lo mismo paso con las de Clarke, un tubito de cristal que ponia Mex 1976 ps.exel. (o sea, mejicana 1976 p.d**. excelente) y me dijo que era una muy buena genetica. La HH la trajeron unos escaladores del Himalaya hace mas de 40 años. Eran lo que yo tenia entonces y empeze a trabajarlas
En un principio todas mostraban bastante variedad como a menudo pasa con landraces. Despues de unas generaciones empezaron a salir mas uniformes y entonces es cuando las utilize como parentales.
Mas no te puedo decir. Un saludo
Moi aussi j'aimerais en savoir un peu plus. Malheureusement, dans les années 90 il n'y avait pas autant d'information comme c'est le cas aujourd'hui.
La congolaise provient d'un ami cultivateur de Barcelone qui, à son tour, l'avait reçue d'un marin qui voyageait régulièrement là-bas. Celle de l'île de La Réunion ([fut ramenée] par un ami qui y avait passé ses vacances, sans appellation d'origine en tant que zamal. Elle venait de l'île de la Réunion, c'est tout. Idem avec celle de Robert Clarke; [il me donna] un petit tube de cristal sur lequel il y avait inscrit: Mex 1976 PS. exel (autrement dit, Mexicaine 1976 PS: excellente) en me disant que c'était une très bonne génétique. La HH fut rapportée de l'Himalaya par des alpinistes il y a plus de 40 ans.
C'était ce que j'avais à l'époque et j'ai commencé à les travailler. Au début, elles montraient toutes beaucoup de diversité, comme ça arrive souvent avec les landraces. Au bout de quelques générations, elles ont commencé à devenir plus uniformes et c'est alors que je les ai utilisées comme parents.
Voilà, je n'ai plus grand chose à ajouter. ** en espagnol post scriptum s'écrit post data, abréviation p.d.